Paroles :

Musique :

 

LE CHANT DES MARAIS

Loin vers l’infini s’étendent
Des grands près marécageux.
Pas un seul oiseau ne chante
Sur les arbres secs et creux.

REFRAIN
O, terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher.

Dans le camp morne et sauvage
Entouré de murs de fer
Il nous semble vivre en cage
Au milieu d'un grand désert

Bruit des pas et bruit des armes,
Sentinelles jour et nuit,
Et du sang, des cris, des larmes,
La mort pour celui qui fuit.

Mais un jour dans notre vie,
Le printemps refleurira
Libre enfin, ô ma patrie,
Je dirai tu es à moi.

REFRAIN
O, terre d’allégresse
Où nous pourrons sans cesse
Aimer.